Dans le cadre de la communication externe du CNES, l’Observatoire de l’Espace est chargé de sa politique culturelle. Cet organisme hyperactif dirigé par Gérard Azoulay réalise depuis 2004 la revue littéraire ESPACE(S). Ouverte aux multiples formes d’expressions inspirées par l’activité spatiale elle accueille chaque année un plasticien dans sa rubrique « cimaise ». Le numéro de 2012 me fait cet honneur. En voici l’introduction :
« Graphiste d’origine, devenu plasticien par ses recherches, Pierre Comte est un artiste historique de l’art spatial. Méticuleux, économe de formes et de matériaux, adepte de l’innovation et des gestes rares mais amples, son travail s’harmonise à la perfection avec les contraintes du huis clos spatial, que ce soit à l’échelle des stations orbitales, des avions Zéro G, ou de notre système Terre. »
La revue ESPACE(S) 8 « huis clos » est éditée par le CNES.
« Graphiste d’origine, devenu plasticien par ses recherches, Pierre Comte est un artiste historique de l’art spatial. Méticuleux, économe de formes et de matériaux, adepte de l’innovation et des gestes rares mais amples, son travail s’harmonise à la perfection avec les contraintes du huis clos spatial, que ce soit à l’échelle des stations orbitales, des avions Zéro G, ou de notre système Terre. »
La revue ESPACE(S) 8 « huis clos » est éditée par le CNES.
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